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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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N'abandonne surtout pas !
20/12/2005 13:21

Lorsque dans la vie rien ne va plus,
que les problèmes tourmentent ton esprit
et que l'argent te cause tant de soucis...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Lorsque trop d'erreurs ont été commises,
que tout ton univers menace de s'écrouler
et que, fatigué, tu sens la confiance t'abandonner...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Tu sais, la vie est parfois étrange, avec son lot de surprises et d'imprévus,
et il ne nous est pas donné de savoir à l'avance combien d'étapes nous devrons franchir,
ni combien d'obstacles nous devront surmonter
avant d'atteindre le bonheur et la réussite.
Combien de gens ont malheureusement cessé de lutter
alors qu'il n'aurait peut-être fallu qu'un petit pas de plus
pour transformer un échec en réussite ?
Et, pourtant, un pas à la fois n'est jamais trop difficile.
Tu dois donc avoir le courage et la ténacité nécessaire
pour faire ce petit pas de plus,
en affirmant que la vie est une grande et puissante amie
qui se tient toujours à tes côtés, prête à te porter secours.
Tu verras alors que cette attitude appelleras,
du plus profond de toi-même,
des forces de vie que tu ne soupçonnais même pas
et qui t'aideront à réaliser ce que tu entreprendras.
Mais surtout et avant tout, rappelle-toi bien:
Quand dans ta vie, des moments difficiles viendront...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
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La cruche fissurée
20/12/2005 13:12
Un vendeur d’eau se rend chaque matin à la rivière, remplit ses deux cruches et part vers la ville distribuer l’eau à ses clients. Fissurée, une des cruches perd son eau. Toute neuve, l’autre rapporte plus d’argent. La pauvre fissurée se sent inférieure.
Un matin, elle décide de se confier à son patron : - Tu sais, je suis consciente de mes limites. Tu perds de l’argent à cause de moi, car je suis à moitié vide quand nous arrivons en ville. Pardonne mes faiblesses.
Le lendemain, en route vers la rivière, le patron interpelle sa cruche fissurée : - Regarde sur le bord de la route ! - C’est joli, et plein de fleurs ! - C’est grâce à toi, réplique le patron. C’est toi qui, chaque matin, arroses le bas-côté de la route. J’ai acheté un paquet de graines de fleurs et je les ai semées le long du chemin. Et toi, sans le savoir et sans le vouloir, tu les arroses chaque jour. Ne l’oublie jamais : nous sommes tous un peu fissurés mais, si nous le lui demandons, Dieu sait faire des merveilles avec nos faiblesses.
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Au-dedans de toi, tu me trouveras
19/12/2005 20:33
Femme, tu pleures ? Qui cherches-tu ? Tu le possèdes celui que tu cherches, et tu l'ignores ? Tu l'as, et tu pleures ? Tu le cherches au-dehors, mais tu l'as au-dedans. Tu te tiens debout hors du tombeau, en larmes, pourquoi ? Où je suis ? Mais en toi. C'est là que je repose, non pas mort, mais l'éternel vivant. Toi-même, voilà mon jardin. Tu as bien jugé en me disant jardinier. Second Adam, j'ai gardé, moi aussi, d'un paradis ma tâche de travailler à faire pousser dans ce jardin - ton âme - des moissons de désirs. Comment ! Tu m'as, tu me possèdes en toi, et tu l'ignores ? Voilà pourquoi tu me cherches au-dehors. Eh bien, me voici. Je t'apparais dehors, mais pour te ramener au-dedans. C'est là, au-dedans, que tu me trouveras. [...]
Je ne suis pas loin de toi, comme tu le penses. Je suis le Dieu tout proche. Dis-moi qu'y a-t-il de plus près pour quelqu'un que son propre coeur ? Ceux qui me trouvent, c'est là, dans leur coeur qu'ils me trouvent : voilà ma résidence.
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Ecoutez ce que je ne dis pas
19/12/2005 19:51

Ecoutez ce que je ne dis pas, je vous en prie

Ne soyez pas trompé par mon visage parce que je porte mille masques Et aucun n'est mon vrai moi. N'en soyez pas trompé, au nom de Dieu, je vous en prie.
Je vous donne l'impression d'être sûr de moi, Plein de confiance et de tranquillité, Que je n'ai besoin de personne : Ne me croyez pas.
Sous ce masque, il y a le vrai moi, confus, craintif, isolé. C'est pour cela que je me crée un masque, pour me cacher, Pour me protéger du regard qui voit.
Et pourtant ce regard est précisément mon salut. A condition que je l'accepte, s'il contient de l'amour, C'est la seule chose qui peut me libérer Des murs de la prison que j'ai moi-même élevés.
J'ai peur de ne valoir rien, de n'être bon à rien, Et que vous le verrez et me rejetterez. Alors, commence la parade des masques. Je bavarde avec vous, Je vous dis tout ce qui n'est rien, Et rien de ce qui m'est tout et qui pleure en moi.
S'il vous plaît, écoutez soigneusement et essayez d'entendre ce que je ne dis pas. J'ai vraiment envie d'être sincère, vrai, spontané, d'être moi-même. Mais il faut que vous m'aidiez. Il faut que vous me tendiez la main.
Chaque fois que vous êtes bienveillant, doux et encourageant, Chaque fois que vous vous efforcez de comprendre par véritable intérêt pour moi, Mon coeur a des ailes, des ailes très faibles, mais enfin des ailes.
Par votre sensitivité, votre sympathie, votre puissance de compréhension Vous seul pouvez me libérer de l'ombre de mon incertitude, De ma prison solitaire.
Ce n'est pas facile pour vous, Car plus vous m'approchez, plus je me défends.
Mais on me dit que l'amour est plus fort que les murs des prisons C'est en ceci qu'est mon espoir, mon seul espoir. Essayez, je vous en prie de faire tomber ces murs d'une main ferme Mais douce, car un enfant est sensible.
Qui suis-je, vous demandez-vous ? Je suis quelqu'un que vous connaissez très bien. Car je suis chaque homme, je suis chaque femme que vous rencontrez, Et je suis aussi VOUS-MEME.

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